Les actrices de films coquins du monde arabe

Mia Khalifa, celle par qui le scandale arrive

Libanaise de 21 ans installée au USA a fait parler d’elle dans son pays natal et dans le monde arabe, pour une raison très simple , elle venait d’être élu « actrice numéro 1 » du site pornographique américain PornHub.

 

Dalila

Originaire du Maroc , plus précisément de Casablanca, Dalila est l’une des premières actrices arabes à avoir fait carrière dans l’industrie du X en France, où elle a immigré à l’âge de 21 ans. Étudianteen géographie, elle pose pour des peintres, avant de poser pour des photos de charme pour arrondir ses fins de mois. Elle se lance dans le X où elle est remarquée pour son physique  « arabe ». Figure du porno vintage, elle a collectionné les couv’ des magazines pour adultes comme Color Climax ou Ciné Sex .

Anissa Kate

En 2011, Anissa Kate, étudiante lyonnaise mélange kabyle et italien,  est en master Économie et Management. Mais voilà ses études « l’ennuient ». Pour échapper à son quotidien, elle commence à fréquenter les clubs libertins de la région. C’est à cette même époque qu’elle tombe par hasard sur un reportage télé sur Jessie Volt, actrice de X réputée. Elle se lancera quelques temps après dans cette industrie qui le lui rendra bien !

Yasmine

Elle est née dans le petit village de Tahar Souk dans les montagnes du Rif  sous le prénom de  Hafida El Khabchi, avant de devenir Yasmine.Celle qui débarque en France avec ses parents à l’âge de 5 mois rencontre l’acteur et producteur de films pornographiques Olivier Lafitte (alias Alexandre Legland) à 23 ans. Son mentor deviendra par la suite son époux et le père de ses enfants. Elle finira chez Marc Dorcel ! Mais… »Ce sont des voisins qui ont montré des photos de moi nue à mes grands frères (…) Depuis ce jour-là, mes parents m’ont clairement fait comprendre que je ne faisais plus partie de la famille »

Jasmine Arabia, pur arabica

En 2010, cette jeune marocaine débarque en France à l’âge de 19 ans. Elle s’installe à Nice où, sans perspectives d’avenir, elle enchaine les petits boulots entre photos de charme, danse orientale et striptease.

« Le porno s’est imposé à moi un peu comme une évidence. Je suis arrivée en France sans diplômes, sans expérience et sans avoir les moyens d’envisager de faire des études (…) Le monde du porno n’a pas tardé à m’appeler et j’ai rapidement accepté ».Elle dénonce la condition des femmes orientales et marocaines : « La liberté sexuelle n’existe pas dans des pays tel que le Maroc, ou en tout cas pour des femmes de mon milieu car comme partout l’élite peut tout s’autoriser (ou presque) » se désole-t-elle.